012 - matérialisation yéti Ce que certains ont appelé le Yéti ou l'homme des neiges, est un phénomène de matérialisation qui résulte de la pénétration temporaire de certaines formes de vies intelligentes, qui existent et évoluent sur des plans invisibles de notre planète, et qui ont le pouvoir de pénétrer, de temps à autres, dans l’espace-temps humain. Ces formes d’intelligences ne sont pas soumises aux lois de l’évolution biologique, mais représentent des formes de vies soumises aux lois de l’évolution éthérique qui sous-tend l’espace matériel et permet à ces formes de vies d’évoluer dans des mondes qui sont inconnus de l’Homme et créent chez l’Homme, lors de la phénoménalisation, une crainte en général terrible. Le Yéti ou l’homme des neiges appartient à une couche d’évolution retardataire, c’est-à-dire que cette couche d’évolution, cette forme de vie, n’a plus le pouvoir de demeurer en permanence sur le plan matériel, car déjà les liens spirituels entre la matière et cette conscience ont été brisés depuis déjà très longtemps, lorsqu’il fut donné à l’Homme le privilège d’évoluer seul, sur le plan matériel, et sans interférence de la part d’intelligences qui appartiennent à des mondes mi-animal, mi-humain. Une des choses très remarquables concernant notre globe, c’est que ce dernier possède, ici et là, sur sa surface, ce que l’on pourrait appeler « des corridors d’énergies », qui lient en quelque sorte la matière avec des mondes non-matériels dans lesquels évoluent des formes de vies plus ou moins évoluées et qui peuvent pénétrer la matière en se servant de ces corridors d’énergies. La science moderne n’a pas encore compris, ni étudié ces corridors d’énergies, et c’est pourquoi beaucoup de phénoménalisations de partout sur la Terre, demeurent inexpliquées et inexplicables. Lorsqu’une vie en évolution sur un plan vibratoire, hors de la matière, passe ou s’adonne à passer par ces corridors d’énergies, il lui est possible de pénétrer l’espace-temps humain, c’est-à-dire de se matérialiser pendant une certaine période de temps, avant de retourner à ce corridor et disparaître. Voilà pourquoi, il a toujours été impossible à l’Homme de conquérir ces formes de vies, parce que justement, l’Homme ne peut pas pénétrer ce corridor, ni le bloquer. Ces types de vies n’ont aucun rapport avec l’évolution de l’Homme. Mais un jour l’Homme devra comprendre les lois de leur évolution, car il aura la responsabilité, le pouvoir, si vous voulez, de contrôler toute entrée de quelque forme de vie que ce soit sur son globe. Tant que l’Homme reste ignorant des lois des mondes parallèles, ou des mondes invisibles, des couloirs d’énergies, il a tendance à créer de toutes pièces, même s’il est moderne, des superstitions concernant l’interaction entre ces mondes et le sien. Et ces superstitions retardent l’évolution de son intelligence et aggravent l’état de son imagination qui est déjà très défaillant. Le Yéti, l’homme de Shasta, et toutes ces formes de matérialisation, représentent pour l’Homme moderne une épreuve d’intelligence égale et comparable à tous les exploits de la science philosophique. L’ordre des choses n’est pas établi par l’Homme et ne peut souffrir la catégorisation que l’esprit matérialiste voudrait bien lui imposer. L’Homme moderne devra un jour reconnaître l’interdépendance, l’interconnexion, la liaison, qui existe entre le monde matériel et les mondes invisibles ou parallèles. La fondation même de sa philosophie scientifique sera altérée par la compréhension des mécanismes profonds qui opèrent derrière les voiles de la matière et engendrent dans la matière des constructions souvent trop vives pour un esprit cartésien, matérialiste, et inhabitué à l’inconnu. Dans l’avenir de l’évolution humaine, la matérialisation deviendra phénomène courant, car les pouvoirs de l’Homme engendreront, sur le plan matériel, des forces suffisamment puissantes, pour déplacer vers la matière des formes non-matérielles mais réelles qui évoluent dans des mondes, soit supérieurs ou inférieurs vibratoirement à notre monde matériel. Nous refusons catégoriquement d’accepter l’impossible, parce que nous avons déterminé, selon nos tendances scientifiques, ce qui nous apparaît comme devant être possible ou impossible. Cette erreur grotesque de la science moderne accentue de plus en plus les différences énormes entre la réalité que nous préconisons et la réalité infinie et écrasante des mondes qui évoluent derrière le matériel. Notre conception de la réalité matérielle a suffisamment astreint nos esprits pour nous clouer au sol du solide et nous empêcher de pénétrer, par l’esprit, des mondes extraordinaires qui, de tout temps et de tout lieu, ont façonné la réalité matérielle. Que ce soit le Yéti, l’homme de Shasta ou d’autres matérialisations, les Hommes, un jour, devront les reconnaître, mais seront impuissants, par leur science, à nuire à leur évolution naturelle, parce que ces intelligences animales et grotesques ne sont pas soumises aux lois de la matière. Une des lois les plus cachées à l’Homme représente la coordination parfaite qui existe entre un plan et un autre. Lorsqu’un plan, pour une raison de perturbation, interpénètre un autre et se manifeste dans ce dernier, l’étanchéité des mondes est diminuée. Et voilà que tout à coup, le monde inférieur tremble devant une réalité qu’il ne comprend pas. Un grand nombre de matérialisations évoluent sous le contrôle de forces ou d’intelligences nuisibles à l’évolution humaine. Ces intelligences n’appartiennent pas à la planète Terre, ni de leur karma, ni de leur origine. Et pourtant, elles agissent sur le plan matériel. Et dans certains cas peuvent créer, dans une région particulière du globe, un effet assez puissant pour que ce dernier devienne au cours des âges, une légende. Ces formes de vies retardataires exploitent la faiblesse psychologique de l’Homme, et entretiennent chez l’Homme la crainte ; de là, leur influence néfaste sur la planète. L’Homme est nettement à un désavantage devant ces intelligences ou ces formes, parce qu’il ne connaît pas les lois de l’invisible et ne possède pas de force intérieure assez puissante pour contrer l’énergie de ces formes, de ces intelligences. L’Homme est alors, dans une situation inférieure, où il doit subir le choc d’une forme de vie singulière et extraplanétaire. Le phénomène de matérialisation de formes de vies étranges à l’expérience humaine a toujours été, de tout temps, un moyen, un outil, dont se servent certaines intelligences extraterrestres, pour s’assurer une liberté d’action suffisamment grande pendant la période où ils doivent exercer, sur le plan matériel, certaines investigations. Souvent, ils projetteront, avant leurs matérialisations sur le plan matériel, ces formes de vies, afin que leur présence élimine de leur environnement les Hommes ou les présences humaines qui pourraient détecter leurs présences sur le plan matériel. Lorsque ces formes de vies apparaissent et qu’elles entrent avec en contact avec un Homme ou plusieurs Hommes, il est évident que ces derniers laisseront libre cours aux activités d’investigations ou de recherches des êtres extraterrestres voulant connaître un peu plus la nature de la vie ou de la matière de notre planète. Mais si les Hommes connaissaient les lois de ces matérialisations et qu’ils se trouvaient face à face avec une expression de ces formes de vies, ils s’apercevraient rapidement que ces formes de vies n’ont aucun pouvoir sur lui, s’il a totalement contrôle des forces intérieures qui l’habitent. Mais l’Homme n’est pas ainsi constitué, du moins pas encore. Cependant, avec les générations qui viendront, les Hommes sauront prendre en main leur situation lorsqu’ils seront confrontés par des forces provenant des univers parallèles et cherchant à créer sur le plan matériel la crainte, la frayeur. C’est pourquoi il est important aujourd’hui de commencer à comprendre certaines choses, afin que l’avenir ne soit pas un cauchemar, mais plutôt un champ d’expériences nouvelles pour l’Homme de la Terre. Ce qui est malheureux dans notre science du XXe siècle, c’est que l’esprit scientifique est devenu tellement spécialisé et tellement fermé sur lui-même, que seuls certains individus œuvrant dans différentes disciplines ont le courage et la suffisance d’esprit pour voir dans la légende et l’expérience de certains peuples, un noyau de vérité, caché, enseveli, sous une couverture épaisse de superstitions fixées par la crainte et la frayeur. La différence entre la réalité et ce que nous croyons de la réalité est tellement vaste que souvent même les scientistes, avec la meilleure volonté au monde, ne peuvent pas surmonter l’obstacle formidable du rationalisme. Mais tout de même, l’Homme doit être averti que les temps qui viennent démontreront avec finalité que les mondes invisibles et le monde matériel s’interpénètrent, et que plus les temps approchent, plus cette interpénétration grandit. De sorte que, à un certain moment de l’histoire humaine, des phénomènes aujourd’hui inexplicables, invérifiables, deviendront, par la force des choses, des événements vécus et enregistrés, soit par la presse, ou des systèmes de communication électroniques. La science moderne ne pourra plus mettre de côté certaines observations, sans chercher à pousser plus loin ses études. Quel que soit le degré d’intelligence de l’Homme moderne, des limites s’imposent à son esprit. Et lorsqu’il a atteint ces limites, il n’a plus d’autre choix que d’aller plus loin encore. C’est à ce point qu’il découvre la vaste réalité qui sous-tend son expérience matérielle. D’ici à vingt-cinq années, l’Homme rapportera, de tous les coins du monde, des phénomènes inexplicables que seul un très petit nombre pourra comprendre avec facilité. Et ces phénomènes feront partie des grands signes qui doivent apparaître avant la fin et le commencement du nouveau cycle. Tant que nous réduisons notre vision des choses aux conditions de notre petite existence de chaque jour, il est évident que ces choses n’ont pas beaucoup d’importance. Mais dès que nous étendons notre vision, il devient de plus en plus apparent que nous sommes extrêmement ignorants de la réalité, et que lorsque cette réalité nous fait face, nous sommes absolument incapables de la vivre pleinement outillés de toutes nos facultés. C’est pourquoi nous cherchons la protection par l’entremise de toutes sortes de formes, et ce sont justement ces formes, qui supposément doivent nous protéger, qui nous empêchent de connaître l’inconnu. Ce n’est plus la protection aveugle, psychologique ou spirituelle, que nous avons de besoin, mais bien l’intelligence, la force et la volonté de dominer nos émotions et nos instincts naturels, qui nous empêchent de faire face à des forces qui proviennent de mondes parallèles et auxquelles nous avons, en nous-mêmes, la puissance de résister si elles ne sont pas en harmonie avec nous. La protection psychologique et spirituelle peut nous être utile lorsque nous ne faisons pas face aux catégories occultes de ces forces. Mais lorsque nous y faisons face, ce dont nous avons besoin, c’est l’énergie et la force en nous-mêmes qui proviennent justement des plus hauts niveaux de notre conscience universelle. Car à ce moment, au cours de ces expériences, le conflit est entre nous-mêmes et ces forces. Et seul l’Homme averti, conscient, puissant en lui-même - parce qu’il puise en lui-même sa force - peut contrecarrer l’influence de ces intelligences, ou de ces formes, qui n’ont sur l’Homme en réalité aucune puissance s’il est totalement centrique. Que nous parlions de n’importe laquelle des formes de vies en évolution qui peuvent se matérialiser au cours de notre expérience et faire valoir sur notre plan des aspects inférieurs de vie et d’intelligence, nous devons en toute sécurité opposer à ces formes de vies notre propre puissance intérieure fondée sur une conscience totale et une connaissance non partagée des lois qui régissent l’évolution de certaines formes de vies à partir de plans invisibles dans la matière. Avant que l’Homme puisse connaître les détails des mystères qui portent ombrage à notre existence matérielle, il lui faut connaître les fondations psychologiques de toute participation qu’il peut avoir avec des phénomènes qui ne sont pas de notre monde, et dont il est totalement incapable, soit de contrôler, ou de comprendre à l’heure actuelle de son évolution et de son expérience. Une psychologie profonde de l’être, une façon parfaite de voir les choses en relation avec le supramental en lui peut donner à l’Homme une maîtrise totale dans des situations qui, au cours des années qui viendront, s’avéreront difficiles pour la majorité des Hommes. L’aspect le plus onéreux de toute forme d’instruction provenant d’un plan supramental dans le cadre d’une civilisation qui doit être amenée à un plus haut niveau d’évolution, réside toujours dans une foi curieuse, mitigée d’incrédulité. L’Homme de par sa nature n’est jamais prêt à accepter ce qu’on lui présente et qui ne correspond pas à sa réalité immédiate. Ceci est l’erreur, et a été l’erreur de toutes les civilisations qui ont trouvé, à la fin de leur cycle, une fin plus ou moins dramatique, dont l’enjeu était toujours entre les mains de forces invisibles. Évidemment, nous ne pouvons pas forcer les Hommes à entendre ou à vouloir écouter des propos qui, pour eux, ne sont que des figments d’imagination. Mais, nous avons tout de même le devoir d’informer ceux pour qui ces informations peuvent servir de fondation à une compréhension des événements qui, dans les années à venir précédant la fin du cycle, sauront mettre en question à la fois l’avenir de l’Homme et le statu quo de sa pensée. S’il est dit aujourd’hui, dans tous les coins du monde, que le nouveau cycle appartiendra à la magie comme l’ancien a appartenu à la science matérialiste, il y a certainement quelque chose dans tous ces dires qui tendent unanimement vers une explication. Et cette explication est justement directement liée à la rencontre entre l’invisible et le matériel. Que cette rencontre soit bonne ou mauvaise, seul l’Homme, l’individu, pourra reconnaître le chemin qu’il doit suivre en vue de conquérir ou d’être conquis. Que les Hommes soient d’accord ou non sur l’instruction, ce n’est plus le point. Mais, que les Hommes sachent que l’instruction leur fut donnée, voilà le point. Nous nous servons ici du phénomène de l’homme des neiges ou d’autres phénomènes connus sur la surface de la Terre, à titre d’exemple, afin d’expliquer, le plus simplement possible, les retraits que doit effectuer l’intelligence rationaliste devant la montée, de plus en plus pressante, de faits et d’événements qui pour ce dernier demeurent inexplicables ou relèvent simplement du fictif et de l’imagination malade. Mais quelle que soit la situation, l’Homme, l’individu, sera toujours celui qui devra porter sur ses épaules le poids de son expérience. Et c’est à ces individus que nous nous adressons, afin de leur faire reconnaître les aspects de plus en plus voilés de l’impossible, afin qu’un jour, ils puissent réaliser que l’impossible est possible et que de toujours et de tout temps, l’impossible a déterminé l’orientation de l’évolution à tous les niveaux de la création. Si la connaissance de l’Homme, surtout la connaissance ésotérique ou hermétique, doit être décortiquée, démystifiée, afin qu’il puisse enfin toucher du doigt le réel de cette connaissance, il est évident que l’Homme a beaucoup à faire, qu’il a beaucoup à transformer dans son esprit et dans son cœur. Et que ce n’est pas au gré, ou selon le gré de son désir personnel ou de son imagination personnelle, que ce travail peut être fait. Nous ne voulons jamais admettre l’impossible, parce que pour nous l’impossible n’existe pas. C’est pourquoi le mot impossible est devenu pour l’Homme une enveloppe à l’intérieur de laquelle il cache ses craintes et ses appréhensions. Et pourtant, combien nous aimons lire des livres, ou entendre parler certaines personnes qui ont vécu, côte à côte, avec l’impossible, et qui ont réussi, de par leur expérience, à jeter un peu de lumière sur la condition de l’Homme et sur la nature profonde de la vie. Mais lorsque ces choses nous touchent de près, nous avons une réticence presque naturelle à absorber ces choses, car, justement, l’impossible est toujours plus près des autres que de soi-même. L’Homme découvrira à la fin du cycle que l’impossible est très près de la Terre et que toutes les nations seront touchées de son aile. L’explication du Yéti n’est qu’un moyen simpliste, graphique, pour expliquer des dimensions plus vastes, pour amener l’esprit à subir, lentement, une modification de sa résistance à des idées que nous devrons un jour comprendre parfaitement, comme nous connaissons ou comprenons aujourd’hui parfaitement les lois de la mécanique. Mais ainsi que les lois de la mécanique sont sujettes aux lois de la matière, les lois de la vie sont sujettes aux lois de l’esprit. Et l’Homme nouveau devra connaître les deux, s’il veut trouver dans son monde un équilibre parfait entre l’esprit et la matière. L’explication du phénomène de matérialisation n’est pas nécessairement pour vous aujourd’hui nécessaire à la compréhension de votre vie. Mais il peut aujourd’hui aider à l’augmentation du pouvoir de conception de votre vie, et à l’actualisation en vous de certaines forces, de certaines énergies, qui peuvent vous faire comprendre un peu la réalité de ce que nous avançons. Le doute peut facilement aujourd’hui nous garder à l’abri de certaines idées trop loin pour servir l’intelligence de notre esprit. Mais un jour, ce doute peut être facilement la cause de notre défaillance devant une expérience incomprise et incompréhensible. La parapsychologie, aujourd’hui, essaie de toutes ses forces d’expliquer ce qui, autrefois, était inexplicable ou insoupçonné. Demain, la parapsychologie sera à l’avant de toutes les sciences traitant de certains phénomènes qui ne participent pas à la loi mécanique de la matière. Ce sont les parapsychologues qui ouvriront les portes de l’inconnu. Mais les masses, elles, les peuples, les nations, se devront d’être bien préparées aux expériences multiples qui ébranleront les fondations de la pensée contemporaine, de la philosophie, de la science et de la religion. Les peuples et les nations doivent être avisés par les moyens que nous possédons aujourd’hui, moyens suffisamment rapides, immobiles, permettant la diffusion d’informations aptes à jeter un peu de lumière dans les coins reculés, où très souvent l’élite, les intellectuels, les scientistes, les parapsychologues ont difficilement accès. La connaissance n’appartient pas seulement aux scientistes, elle appartient aussi à ceux qui dépendent de la science, mais qui souvent doivent attendre des années et même des générations avant que les bienfaits de la science viennent à eux. Que nous parlions du Yéti, des hommes en noir ou de toute autre forme de matérialisation provenant de notre globe, ou créée de toutes pièces par des intelligences d’outre-espace qui gardent et conservent leur anonymité dans l’éther de notre planète, nous devons comprendre que la vie n’a pas été créée et conçue par l’Homme, mais qu’elle était déjà avant l’Homme, et que le devoir de l’Homme est d’en connaître tous les aspects et toutes les profondeurs, s’il veut, un jour, avoir accès au mystère de son infinité, de pouvoir enfin se libérer de la lourdeur de son ignorance. Le but de cet enregistrement n’est pas encore tellement de lever le voile sur ces choses comme de créer une plus grande élasticité dans l’esprit, afin que la levée du voile soit plus facile à absorber, et à intégrer dans un esprit social qui a été fortement fossilisé par le manque d’expérience et de contact avec une vision des choses qui n’étaient pas du domaine du rationalisme et du cartésianisme. Demain, la matérialisation positive ou négative sera un phénomène de tous les jours. Aujourd’hui, elle suscite la curiosité ou l’incrédulité totale. L’intelligence humaine doit être supportée par le supramental, si elle doit, un jour, apprivoiser ses craintes et aller au-delà des limites de ce qu’elle considère possible et raisonnable. Retournez cent ans en arrière, et regardez cent ans en avant, et vous comprendrez un peu ce que je veux dire.